Après plusieurs jours très agréables à Alice Springs on repart reposés et chargés de nourriture vers les monts MacDonnell. Entre les nombreux gouffres, gorges, trous d’eau et autres formations rocheuses étonnantes il y a de quoi oublier les nombreux Campingcores qui se regroupent quotidiennement pour dormir tous ensemble alors que l’espace est infini. De notre coté, on en profite chaque soir : une douche à la fraiche, un coucher de soleil et un ciel d’une pureté indescriptible. Parfois un Dingopode déchire le silence étourdissant du parc et hurle face à une pleine lune montante. Bref, le camping sauvage est un jeu d’enfant ici.
Ce qui l’est moins c’est la piste qu’on empreinte au bout des MacDonnell. Deux petits jours très fatigants pour rejoindre le site de Kings Canyon. La tôle ondulée, le sable et les cailloux ralentissent déjà énormément nos vélos quand le vent, de face évidemment, se lève. La randonnée au milieu du canyon est la récompense. Grandiose.
Mais l’objectif de ce détour est plus loin. Quelques centaines de kilomètres et on aperçoit LE caillou le plus célèbre du monde. Ayers Rock aussi connu sous le nom d’Uluru. Élément sacré des aborigènes depuis des milliers d’années, c’est devenu un site touristique qui mérite quand même d’y passer, comme ses petites voisines les Kata Tjuta, 50 kilomètres plus à l’Est. Encore une fois les Campingcores semblent régner sans partage ici, mais continuent de se regrouper pour voir le lever ou coucher de soleil qui enflamme le rocher. Le camping sauvage est interdit mais à vélo il est facile de disparaître au milieu de la végétation et d’en profiter en paix, bien que les minuscules Myrmex ne soient pas toujours d’accord.
Cette « petite » boucle pour aller voir Uluru rallonge quand même d’environ 1000 kilomètres la traversée du parc. On est donc bien fatigués quand on retrouve la Stuart Highway le 26 septembre. Et pourtant, une nouvelle épreuve nous attend.
La plus cruelle des créatures du parc va faire son apparition sur la longue, très longue piste d’Oodnadatta, lorsque l’on sera désespérément seuls en plein milieu de l’Outback…
Galerie Photos
Arrivée a la fin de la lecture!!!…DEJA FINI!!! LE TEMPS PASSE TROP VITE EN VOTRE COMPAGNIE, a vous lire.
Et en plus vous faites durer le suspens!!!
A QUAND LA SUITE!!!
BREF, toujours que du bonheur a vous suivre.
PROFITEZ, PROFITEZ!!!!….
AU PLAISIR DONC DE VOUS RELIRE TRES VITE!
FRANCOISE
La fin de la lecture, mais pas encore la fin de la traversée ! La suite arrive très bientôt !
Des bisous !
Hello Bises de ILE Maurice !
Fantastique
AMITIES
Guy&Anne
Voici une autre île, certes plus petite, mais qui doit habiter bien des créatures exotiques également !
Des bisous !
en effet c est avec toujours un grand plaisir que je dévore vos escapades toujours aussi mouvementés et pleines de surprises j en parlerai à pepere et mémère qui sont heureux d avoir de vos nouvelles gros bisous à vous deux et surtout bon courage pour la suite
Mouvementées, mais monotones aussi parfois sur de telles lignes droites.
Embrassez les bien pour nous !
Des bisous !
toujourS aussi passionnant ! et la suite, et la suite, et la suite 😉
Des bisous
La suite la suite la suite c’est tout bientôt .
La carte postale, elle, vient juste de s’envoler vers la France !
Des bisous !
SUPERBE
DE BELLES IMAGES ET UN RECIT CAPTIVANT , COMME TOUJOURS .
TOUOURS BEAUCOUP de réjouissance et il vous faut des pneus lisses ils seraient ainsi moins chargés .
bises à vous deux
Ca tombe bien les pneus d’Eric n’ont plus beaucoup de relief 🙂
Des bisous !
j’adore vos photos et me délecte à chaque lecture de vos commentaires, j’admire beaucoup ce grand périple que vous avez entrepris. Bravo, vous êtes magnifiques tous les deux.
Michelle Viney
Merci beaucoup Michelle !