Quelques jours de pause à Athènes. Comme le voyage ce n’est pas des vacances on a un peu de boulot.
Mettre à jour le blog pour raconter nos péripéties depuis l’entrée en Grèce, répondre aux mails, se renseigner à propos d’un éventuel ferry partant du Sud du Péloponnèse vers la Crète et visiter l’Acropole. Donc après une première nuit chez Dimitri on file à la première heure de ce vendredi en métro au centre d’Athènes. Première heure de l’après midi, 13h. On passe les heures suivantes sur l’ordinateur posé dans un café. Puis retour chez notre hôte car on lui a promis que ce soir on cuisinerait malgré la menace d’un vendredi 13.
Le samedi matin, personne n’est malade pour les curieux, idem, métro, même heure, 13h. On visite un peu la ville. On fait le tour des agences de voyages pour comprendre qu’il y aurait une fois par semaine un ferry-peutêtre-onnesaitjamais-çadépenddelamétéo-etdelacrise-fautvoireauport le 25 février du Péloponnèse. On va fêter ça en buvant quelques bières avec Fabian et Axel arrivés en bus hier. Pour ceux qui ne savent pas qui sont Axel et Fabian, pas d’excuses, c’est dans un article précédent (indice : Doc et Marty). Et retour en métro.
Dimanche matin, c’est le jour J. Enfin du soleil alors on va voir l’Acropole. Donc métro aux aurores, 10h. On se noie dans le flot de touristes pour arpenter les ruines et s’imaginer la vie autour du Parthénon, du temple d’Athéna ou de l’Erechthéion. On va également voir d’autres vielles pierres disséminées dans la ville, puis des pierres dans des galeries du nouveau musée de l’Acropole. Puis retour en métro pour passer une soirée avec Dimitri qui nous prépare un dessert grec fait de sucre et de sucre, les« galacto boureko » et avec Viki son amie polonaise qui nous a rejoint.
Le lundi 16 on décolle et on descend au port principal à Piraeus à 25 kilomètres. On veut juste confirmer ce presque-sûr ferry et commencer à rouler vers le Peloponnèse. Mais un bug informatique empêche toutes les agences de nous renseigner. On apprend quand même que ce maintenant-improbable ferry est souvent annulé et jamais reprogrammé. Ca veut dire attendre une semaine en espérant que le prochain navigue. Alors changement de cap et direction la Crète directement, le soleil, l’huile d’olive et tout et tout. Mais tout d’abord une après midi d’attente et une nuit dans le ferry. Comme on est dans les premiers à embarquer on se trouve un endroit prisé avec lumière tamisée et fauteuil en coin pour passer la nuit. On est un peu triste de ne pas découvrir le Péloponnèse mais on retrouve le sourire en voyant apparaître dans le ferry Viki et Dimitri qui décident d’aller passer une semaine en Crète ! Vin local et vodka polonaise au menu. On prend de mauvaises habitudes en leur compagnie, mais le trajet passe très vite, trop vite pour qu’on dorme réellement.
Le mardi 17, 6h du matin, nous voilà devant les portes du ferry qui s’ouvrent. Même s’il est tôt on s’attend à être subjugué par la chaleur, par un levé de soleil sans nuages, par … QUOI !!! Mais c’est de la pluie qu’on voit ! Les dieux grecs ne nous ont pas écoutés, pourtant à 12 euros l’entrée de l’Acropole ils auraient pu faire un effort. Trop dégoutés pour ressortir les affaires de pluie rangées au fond des sacoches par un excès de foi ou d’optimisme, on s’installe dans un café avec nos deux acolytes le temps que le soleil se lève, au dessus de l’épaisse couche de nuages. On roule les quelques kilomètres qui nous séparent de Chania dont la vieille ville et le port sont particulièrement pittoresques. Deuxième café avec Viki et Dimitri arrivés en stop. Bien excités par ce deuxième café en moins de 7 kilomètres, on part plein ouest pour rejoindre Fiona, Manuel, et leurs deux petites filles, qui nous hébergent. On leur fait découvrir la galette des rois en dessert, une bonne excuse pour en manger encore et encore, une bonne excuse aussi car tellement facile à faire.
Ce mercredi matin la météo est toujours aussi capricieuse. On brave le fort vent et les nuages menaçant pour aller découvrir la baie de Balos à l’extrême nord ouest de la Crète. Manu est de bon conseil car c’est splendide. La couleur de l’eau, le sable, les nuages foncés et l’absence de touriste en cette saison donne un rendu magique au panorama. On passe le reste de la journée avec nos hôtes et leurs deux filles, Gulia et Sonia, qui à 3 et 5 ans sont déjà trilingues ! Anglais comme la maman, italien comme le papa, et grec comme à l’école. Et grande première, on fait un nouveau dessert, tarte au citron meringuée. Merci marmiton ! Mais surtout merci à cette famille pour leur accueil.
On les quitte le jeudi 19 pour redescendre au village de Kissamos où l’école des petites nous attend pour qu’on leur fasse découvrir le voyage. On repart une heure plus tard enchantés de cet échange et avec un nouveau compagnon, un petit ourson bleu nommé Feta !
On emprunte l’ancienne route pour retourner à Chania et s’en éloigner avant la nuit. Sauf qu’on ne trouve pas où s’installer. Ca grimpe, il fait noir. On ne voit pas grand chose avec nos frontales, juste assez pour réaliser que la montée est loin d’être finie. Heureusement on trouve peu de temps après un petit peu de plat pour poser la tente. La vue sur Chania et Souda est agréable, l’odeur de brebis beaucoup moins, et la crotte autour et sur la tente encore moins.
La nuit est réparatrice et la montée semble moins raide ce matin. La descente sur une petite route qui zigzague au milieu des oliviers est une partie de plaisir. Le soleil est enfin là. L’hiver le plus rigoureux depuis 35 ans d’après les Crétois semblent céder la place au printemps. On découvre à l’écart du village de Paidohori, le petit paradis de Joëlle, contact donné par Dave le cuisinier vagabond. (Idem que Axel et Fabian, on en a déjà parlé. Faut suivre les articles dans l’ordre !). Elle nous propose de rester jusqu’au lendemain et on n’hésite pas longtemps avant d’accepter. On passe une excellente journée avec elle, son fils Vadim, Lopez, et Stéphane. Ca parle de tout et de rien mais surtout des actualités Grecque/Europe. Tout ce petit monde étant français ou francophone, c’est d’autant plus simple.
Le lendemain on démarre vers 10h30 pour traverser l’île vers le sud. Une belle montée nous attend. Les paysages sont vraiment jolis, à moins d’être allergique aux oliviers. On retrouve rapidement la neige au sommet de notre route avant de replonger vers la mer de l’autre coté. On s’installe dans un champ d’olivier forcément, après avoir été invités à boire un café dans une taverne. C’est ce qu’on pensait, jusqu’à ce que le patron nous demande quatre euros…
Dimanche 22 on traverse des petits villages qui semblent avoir été oubliés par le tourisme. C’est l’impression qu’on a, d’être en Crète, pas d’hôtel ou de restaurant en vue. Juste trois hommes en train de préparer le mouton pour fêter le début du carême. Comme ils ne nous convient pas à leur festin on mange notre déjeuner habituel. Oranges, feta, taxini (pâte de sésame), pain. Mauvaise nouvelle. Retour du sale temps. Trois jours de pluie au programme. Ca se confirme cette après midi. Il commence à pleuvoir, on ne sait pas où s’arrêter. On cherche une église ou une chapelle mais elles sont fermées. On tourne, on ne trouve rien. On s’engueule, on ne trouve pas plus. On termine cette journée dans un champ d’oliviers non entretenus, entre une route et une barrière. Pas très bucolique. Pas très original non plus. Tout ça pour ça !
Cloclo avait raison. Le lundi au soleil c’est pas gagné même en Crète. Les averses sont violentes et imprévisibles. On reste cachés dans notre abri. Entre deux douches j’en profite pour réparer la première crevaison du voyage et pour aller rendre visite au monastère quelques kilomètres plus loin. Les moines font mine de ne pas me voir pendant leur méditation. Le soir on se prend l’orage le plus violent qu’on n’ait connu. Toutes les 30 secondes des éclairs illuminent notre tente, le sol tremble et les gouttes d’eau essaient de transpercer notre toit. On est en plein milieu de l’orage. Une heure après le calme revient, la petite pluie nous paraît maintenant rassurante ! Une heure de répit et un deuxième orage nous vise de nouveau. Rebelote. On attend patiemment que ça passe, pas inquiets mais pas sereins non plus.
Mardi c’est pareil. La tente repose désormais sur une petite piscine et de l’eau s’infiltre tout doucement et sournoisement sous nos matelas. On lit, on dort, on écoute des podcasts, on s’occupe. On n’a plus beaucoup de nourriture ni d’essence, tout juste de la farine et quelques légumes. C’est comme ça qu’est née la pizza bivouac. On se régale !
Le réveil ce mercredi matin n’est pas terrible. Un orage en fin de nuit, un ciel très gris, une petite pluie. Mais sans essence ni nourriture on n’a pas le choix donc on quitte notre piscine boueuse. On traverse un canyon et de l’autre coté du ciel bleu. On passe non loin des ruines de Phaisto, ancien palais minoen. On n’imaginait pas ça ce matin mais on est en T-shirt et short et il fait chaud. Très chaud. Tellement chaud qu’on utilise pour la première fois notre « douche » au bivouac, un sac de quatre litres pas vraiment chauffé au soleil couchant.
Jeudi on passe par Gortis, des ruines encore des ruines mais celles si sont perdues au milieu d’oliviers gigantesques, plusieurs fois centenaires voire plus. On s’y installerait bien mais on n’a pas encore fait assez de kilomètres aujourd’hui. On décide un peu au dernier moment de bifurquer plein nord car la météo y est plus prometteuse. On retraverse l’île, direction Knossos, le site archéologique le plus fameux de Crète, non loin d’Héraklion. On s’arrête en chemin dormir dans une église où Charlotte en profitera pour prendre un bain de boue, reste d’une coulée probablement des derniers jours.
Vendredi 27 on arrive tôt à Knossos. On nous laisse entrer gratuitement même sans nos cartes étudiantes qu’on n’a pas car on n’est pas étudiants. Ce site n’est pas si incontournable, vaguement reconstruit selon les hypothèse d’un seul et unique homme, Mr Arthur Evans, qui, là où il a trouvé une jarre en a déduit une chambre de stockage, et là où il a trouvé une chaise la salle du trône. Bref, le plus utile pour nous c’est ce toit qui protège des vestiges en cours de restauration mais qui surtout nous permet de nous abriter pendant un orage diluvien. On rencontre par la même occasion des français. Dominique, instituteur en vacances, Ambre et Baptiste autostoppeurs à travers l’Europe et la Turquie et la sœur de Baptiste, Charlotte. AH AH ! De nouveau une Charlotte, ça va être le bordel. Comme promis (si si, c’est aussi dans un article ça) on change son prénom. Donc la sœur de Baptiste, Charlottis. Eh oui faut bien coller au pays. On termine la visite dès le soleil revenu, visite qui se transforme en balade ensemble. Après un repas qui dure plus longtemps que la découverte de Knossos, on se donne rendez-vous le soir même à Héraklion. On n’avait pas prévu d’y passer mais l’ambiance est sympathique alors direction l’auberge de jeunesse de la ville, en plein chantier, l’occasion de se laver les cheveux. On en profite pour se renseigner pour le ferry vers Rhodos, qui depuis tout l’hiver part chaque samedi de Sitia, à l’est de la Crète. Sauf que depuis la semaine dernière, plus rien n’est programmé. Personne ne sait pourquoi, comment, quand sera le prochain. On nous dit de se renseigner la semaine prochaine, vendredi. La veille en fait. Super. Soirée dans un des parcs de la ville, à gouter du vin du Kossovo ramené par Baptiste et Ambre.
Pour commencer ce dernier jour de février, un peu de culture. Le musée d’Héraklion est beaucoup plus intéressant que le site de Knossos. Mais après une heure et demi, le soleil nous appelle et on repart vers le plateau de Lassithi. Ce plateau est à mille mètres d’altitude donc on se réserve pour demain et on s’installe encore une fois un champ d’oliviers pour passer la nuit. On se retrouve par malchance au milieu des chasseurs Crétois guettant les proies. Bons ou mauvais chasseurs, la réponse reste ‘Inconnus’. Au vu du nombre d’oiseaux tombés et du nombre de plombs volés on a plus l’impression d’être au milieu d’un stand de tir, encore plus quand certains plombs viennent finir leur course parabolique sur notre tente.
Nous voilà en mars déjà et le printemps, voire l’été, s’installe en Crète. Un temps magnifique nous accompagne sur la route qui grimpe sur ce plateau fameux pour ces moulins aux pales blanches qui récupèrent l’eau en sous sol. Quelle déception en arrivant en haut en voyant qu’aucun de ces moulins n’est en fonction. Heureusement les montagnes encore enneigées donnent du cachet au panorama. On passe une partie de la journée là haut puis on redescend vers Elounda. On bivouac juste sur les hauteurs de cette baie, sur une terrasse d’un vieux moulin en ruine avec vue sur mer.
Lundi 2 mars, journée attendue depuis longtemps maintenant. On fête les 4 mois de voyage, on passe la barre des cinq mille kilomètres, mais surtout on récupère le colis envoyé par la famille. Il nous attend sagement à Agios Nikolaos. C’est un peu Noël. On est surexcités alors on se jette sur la poste dès qu’on arrive. Charlotte attend patiemment que les quatorze personnes devant passent puis encore une dizaine de minute qu’ils trouvent enfin le colis. On est trop contents car on a reçu une chaine de vélo neuve. Bon, le saucisson, les bonbons, les livres, les petits mots y sont aussi pour quelque chose. Ah et le chocolat aussi ! On quitte Agios Nikolaos et on se trouve une plage. Charlotte tente la première baignade du voyage qu’on homologue car elle passe la barre des trente secondes. Ce soir on se fait un feu sur la plage et on améliore les pizzas, cette fois ci cuites au feu de bois.
Le mardi on va jusqu’à Sitia, soixante-cinq kilomètres de montées et de descentes. Ca casse les pattes. Ici c’est la même chanson à propos des ferry. Faut revenir vendredi. On fait un dernier effort et on repart pour deux petites heures de vélo. On veut atteindre la plage de Vaï au bout de l’île. Le paysage change subitement. Tout est aride ici, beige, ocre. La végétation est basse. On a l’impression de changer de pays. Il fait presque nuit quand on aperçoit Vaï. Une plage vide, une palmeraie, une eau turquoise, du sable fin. Vaï tient ses promesses. C’est magnifique. En été il paraît que c’est bondé. En mars c’est rien que pour nous. C’est le paradis. C’est aussi le paradis pour les moustiques qui nous dévorent toute la nuit.
On est tellement bien ici qu’on reste mercredi puis jeudi. Farniente. Soleil sur la plage ou à l’ombre des palmiers, c’est la décision cruciale de la journée. On s’installe une douche, j’essaie en vain de battre les trente secondes de Charlotte, on fait du feu et on atteint la perfection dans nos pizzas. On se croirait presque dans Koh Lanta. Mais heureusement ou malheureusement, comme il n’y a pas 100000 euros à gagner pas besoin de s’éliminer. Par contre on dort sous la tente et non plus à la belle étoile. Fin du paradis … pour les moustiques.
Et vendredi fin du paradis pour nous aussi. On repart vers Sitia. On rencontre Christina et Ole qu’on avait rapidement croisés le mardi. Ce couple danois nous fait plusieurs propositions que nous n’avons pas le droit de refuser. D’abord un café, puis un déjeuner, mais aussi rendez vous le soir même dans leur appartement pour dîner. On profite du reste de l’après midi pour trouver une chambre pour la nuit et on apprend qu’un ferry part d’ici demain pour Rhodos. On a trouvé un moyen de quitter la Crète !
Notre voyage ne se terminera pas sur cette Île. Denis Brogniart peut aller se faire foutre.
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Hi guys,
We’re glad you enjoyed Crete and got to meet Manu and Fiona! Looks like we’ll miss our rendez vous in Cappadocia as we arrived yesterday but will be here for about a week (need to rest after an eventful few days).
Hope you have fun in Turkey, it’s a great country, especially if you like çay!
Safe travels and strong tail winds.
Marcus & Kirsty
http://Www.shesnotpedallingontheback. com
You ride so fast !
Unfortunately we won’t be able to make it to Cappadocia before you leave 🙁
We spent more days than planned in Crete but we could at least have time to meet great people, have a few sunny and warm days and even had a swim in the sea ! Maybe we had enough snow for now (We saw you had lot of snow in Istanbul !!!) But something tells me that we’ll have some again in Turkey …
Anyway we need to pedal seriously again and we can’t wait to discover Turkey on the bicycles. And I can wait to drink turkish çay 😉
Take care !
Comme vous êtes bronzes, alors que soit disant il pleut presque tout le temps… Y’a de l’arnaque la dessous!!!!
Pleins de bisous!
Presque ! Les derniers jours étaient juste … Superbes ! C’était des mini vacances lanta sur notre petite plage 🙂
J’en profite car je ne peux pas me vanter souvent d’être bronzée début mars. Par contre ça se limite au visage, aux avant bras et un peu aux pieds :\
Bisous a vous 3 😉
Bon! Pour résumer… Moins de chiens, moins de pluie mais toujours autant d’amis, de chaleur humaine, de belles découvertes et de beaux paysages … En plus de nous faire rire, vous nous faites voyager et rêver…
Charlotte doit avoir une peau superbe avec tous les bains de boue qu’elle fait. Elle reste coquette même pendant un tout du monde… chapeau! 😉
Grosses bises à tous les deux.
On a hâte de savoir quels secrets de beauté nous réserve la Turquie 😉
Salut les jeunes,
Toujours aussi sympa de vous lire, vous arrivez en Turquie et à cette époque la météo va commencer à être clémente. Nous étions à Izmir il y a 2 ans en avril, super agréable et la cote ressemble à la Corse.
Gros bisous Dom karen&Mat
C’est fini les vacances à la plage avec des journées de 30-40 km. Maintenant le programme c’est du pédalage sérieux et efficace ! Il est grand temps d’espacer les petits points de bivouac sur l’itinéraire 🙂
Bonjour Charlotte et Eric
Quel régal toutes vos aventures , on voyage avec vous !!
Il y a des gens sympas , bravo la communication, c’est utile !
Vous devez en prendre des notes pour nous restituer tout cela .
Qui dit moustiques , dit chaleur , super pour vous . On n’en a pas encore dans notre Est !
Je me permet cette suggestion , n’est ce pas plustôt Vendredi 27 dans les lignes ci dessous :
Vendredi 17 on arrive tôt à Knossos. On nous laisse entrer gratuitement même sans nos cartes étudiantes qu’on n’a pas car on n’est pas étudiants. Ce site n’est pas si incontournable, vaguement reconstruit selon les …….
Bises à vous deux et à bientôt
Corinne et Philipe
Alors là on ne peut pas dire que vous ne suivez pas ! On pourrait dire que c’était fait exprès pour savoir qui est attentif, que c’est un nouveau quizz carte postale mais même pas. Je passe un savon de suite au rédacteur !
Merci pour ce partage d’émotions, de vie, de voyages, de cultures, d’images et de beaux textes !
Et… même pas peur des chiens, des côtes, de la pluie, des orages, des moustiques, des ennuis techniques.
Plein d’admiration 😉 Bonne route et à tout bientôt
Catherine & Stéphane
Plus on avance, plus les chiens sont petits … ( proportionnellement à la taille de l’île peut être ? ) Par contre en Turquie …. ça promet ! Alors on va bien surveiller nos mollets 🙂
Salut la jeunesse, je vois que tout se passe bien.
Apparemment la Grèce vous plait beaucoup car vous semblez y rester bien longtemps ….
Ici tout va bien, le printemps arrive tout doucement, vivement les beaux jours.
Dans 2 semaines la traditionnelle choucroute aux poissons annuelle à Strasbourg avec DD et Fabienne
Nous avons reçu votre gentille carte et vous en remercions.
Prenez soin de vous.
Bisous
Il y a un an moins 2 semaines on vous rejoignait à vélo dans le centre ville de Strasbourg pour prendre le soleil en terrasse !
Mais maintenant, c’est vous qui pouvez nous rejoindre quand vous voulez (en avion cpas forcément à vélo). En golf, c’est possible aussi , vous passerez quasiment inaperçus en Albanie ! Mais vite vite vite car on va passer à la vitesse supérieure maintenant !